L’an deux mil quinze le vingt-six du mois de NOVEMBRE à 20 heures 30 le Conseil Municipal de la Commune de St Bonnet, étant assemblé en session ordinaire à la Salle de la Mairie de St Bonnet, lieu habituel de ses séances, après convocation légale, datée du 19 Novembre 2015, sous la Présidence de M. Laurent DAUMARK.
Étaient présents tous les conseillers en exercice :
M. Roland BERNARD, Mme Emilie DROUHOT, M. Benoît GOSSELIN, M. Paul DAVIN, Mme Marie-Andrée FESTA, M. Jean-Yves GARNIER, M. Philippe GONDRE, M. Dominique GOURY, Mme Nathalie LAJKO, Mme Marie-Anne MANAUD, Mme Martine MARC, Mme MILLON Florence, M. Pierre-Yves MOTTE, Mme Marion PELLEGRIN et M. Carmine ROGAZZO.
Étaient absents et représentés : Mme Béatrice ALLOSIA ayant donné pouvoir à Mme Martine MARC, Mme Emmanuelle PELLEGRIN ayant donné pouvoir Mme Florence MILLON et M. Christian PARPILLON ayant donné pouvoir à M. Pierre-Yves MOTTE.
A été nommée Secrétaire de Séance : Mme Marion PELLEGRIN
N°84/2015
FRAIS DE FONCTIONNEMENT DES ECOLES 2014/2015
Le maire rappelle les dispositions de l’article L212-8 du code de l’éducation.
Ainsi, lorsqu’une école publique accueille des enfants de plusieurs communes, un mécanisme de répartition des charges de fonctionnement de ces écoles entre les communes concernées a été créé. Ce mécanisme, codifié à l’article L. 212-8 du code de l’éducation, a été modifié en dernier lieu par la loi no 2005-157 du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux.
Lorsque les écoles maternelles, les classes enfantines ou les écoles élémentaires d’une commune reçoivent des élèves dont la famille est domiciliée dans une autre commune, la répartition des dépenses de fonctionnement se fait par accord entre la commune d’accueil et la commune de résidence.
Les dépenses mentionnées à cet article sont les dépenses effectivement supportées par la commune d’accueil pour assurer le fonctionnement de ses écoles, même si ces dépenses ne revêtent pas le caractère de dépenses obligatoires mais dans la mesure où elles ne résultent pas de décisions illégales.
Le coût moyen de scolarisation d’un élève ayant fréquenté l’école de Saint Bonnet en Champsaur pour l’année scolaire 2014/2015 est de 1.051,74 € et se calcule comme suit :
Frais de fonctionnement des écoles 222.969,46 €
Nombre d’enfants scolarisés : 212
Coût moyen de scolarisation/enfant : 1.051,74 €
Les communes concernées par la participation financière sont les suivantes :
COMMUNE DE LAYE:1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DE POLIGNY: 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DU NOYER : 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DE SAINT EUSEBE : 3
1.051,74 * 3 = 3.155,22 €
COMMUNE DE LA FARE EN CHAMPSAUR : 3
1.051,74 * 3 = 3.155,22 €
COMMUNE DES COSTES : 2
1.051,74 * 2 = 2.103,48 €
COMMUNE DE SAINT MICHEL DE CHAILLOL : 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal, à l’unanimité :
FIXE pour l’année scolaire 2014/2015 la participation pour chaque enfant scolarisé dans l’école de Saint Bonnet en Champsaur et domicilié dans une commune extérieure à 1.051,74 € ;
DEMANDE la participation sur la base du Compte Administratif 2014 pour l’année scolaire 2014/2015 soit 1.051,74 € par élève ;
APPROUVE la participation financière pour les communes concernées de la manière suivante :
COMMUNE DE LAYE:1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DE POLIGNY: 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DU NOYER : 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
COMMUNE DE SAINT EUSEBE : 3
1.051,74 * 3 = 3.155,22 €
COMMUNE DE LA FARE EN CHAMPSAUR : 3
1.051,74 * 3 = 3.155,22 €
COMMUNE DES COSTES : 2
1.051,74 * 2 = 2.103,48 €
COMMUNE DE SAINT MICHEL DE CHAILLOL : 1
1.051,74 * 1 = 1.051,74 €
N°85/2015
ADHESION A L’ASSOCIATION DES ELUS DES COMMUNES DU PARC NATIONAL DES ECRINS
Le maire rappelle que l’association des élus des communes du Parc National des Écrins a été créée par les Élus des communes concernées par le Parc National des Écrins pour avoir une meilleure écoute sur les problématiques des communes liées à la présence du Parc et de pouvoir œuvrer avec lui pour le développement de notre territoire dans le cadre de missions respectives.
Il précise que même si les conditions ont changé depuis 20 ans, cette association a toujours son rôle à jouer. Pour que cette association continue à être écoutée et entendue, il est nécessaire qu’elle représente officiellement un maximum de communes et ainsi que les communes y adhérent.
A l’unanimité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE D’ADHERER à l’Association des Élus des Communes du Parc National des Écrins pour une cotisation de 50 euros pour l’année 2015.
N°86/2015
AUTORISATION DE MANDATER LES DEPENSES D’INVESTISSEMENTS DANS LA LIMITE DU QUART DES CREDITS OUVERT AU BUDGET DE L’EXERCICE PRECEDENT POUR LE BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE
M. le maire rappelle les dispositions extraites de l'article L 1612-1 du code général des collectivités territoriales modifié par la loi n°2012-1510 du 29 Décembre 2012 – art. 37 :
Dans le cas où le budget d'une collectivité territoriale n'a pas été adopté avant le 1er janvier de l'exercice auquel il s'applique, l'exécutif de la collectivité territoriale est en droit, jusqu'à l'adoption de ce budget, de mettre en recouvrement les recettes et d'engager, de liquider et de mandater les dépenses de la section de fonctionnement dans la limite de celles inscrites au budget de l'année précédente.
Il est en droit de mandater les dépenses afférentes au remboursement en capital des annuités de la dette venant à échéance avant le vote du budget.
En outre, jusqu'à l'adoption du budget ou jusqu'au 15 avril, en l'absence d'adoption du budget avant cette date, l'exécutif de la collectivité territoriale peut, sur autorisation de l'organe délibérant, engager, liquider et mandater les dépenses d'investissement, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l'exercice précédent, non compris les crédits afférents au remboursement de la dette.
L'autorisation mentionnée à l'alinéa ci-dessus précise le montant et l'affectation des crédits.
Pour les dépenses à caractère pluriannuel incluses dans une autorisation de programme ou d'engagement votée sur des exercices antérieurs, l'exécutif peut les liquider et les mandater dans la limite des crédits de paiement prévus au titre de l'exercice par la délibération d'ouverture de l'autorisation de programme ou d'engagement.
Les crédits correspondants, visés aux alinéas ci-dessus, sont inscrits au budget lors de son adoption. Le comptable est en droit de payer les mandats et recouvrer les titres de recettes émis dans les conditions ci-dessus.
BUDGET PRINCIPAL DE LA COMMUNE
Montant budgétisé - dépenses d'investissement 2015 : 2.660.000 * 25% = 665.000 €(Hors chapitre 16 « Remboursement d'emprunts »)
N° opération |
Libellé |
Montant Budgétisé en euros |
Crédit ouvert à hauteur du quart en euros |
0202 |
G.R batiments communaux |
150.000 |
37.500 |
11 |
Acquisition de matériel |
80.000 |
20.000 |
1201 |
Rénovation extension VVF |
200.000 |
50.000 |
1203 |
Aménagement entrée de village PAS |
200.000 |
50.000 |
1204 |
Acquisitions foncières |
100.000 |
25.000 |
1209 |
Travaux extension bibliothèque |
50.000 |
12.500 |
1301 |
Programme voirie communale |
200.000 |
50.000 |
1302 |
Aménagement des chemins piétonniers |
30.000 |
7.500 |
18 |
Réhabilitation de l’ancien CPM |
135.000 |
33.750 |
20002 |
Aménagement parc Grimaud |
50.000 |
12.500 |
20041 |
Drainage de l’Aullagnier |
30.000 |
7.500 |
20102 |
Modification du PLU |
50.000 |
12.500 |
201401 |
Travaux église |
35.000 |
8.750 |
201402 |
Gendarmerie-parking-WC public |
100.000 |
25.000 |
201501 |
Véranda club 3ième âge |
50.000 |
12.500 |
201502 |
Travaux crémaillère – Normes handicapés |
60.000 |
15.000 |
201503 |
Aménagement rues : 8 mai – 11 novembre – st julien |
450.000 |
112.500 |
201504 |
Rénovation abattoirs - archives |
150.000 |
37.500 |
201505 |
Chemins piétonniers – le domaine |
5.000 |
1.250 |
201506 |
Renforcement EDF Lotissement Totor- piscine – sapinette - Amar |
150.000 |
37.500 |
201507 |
Cimetière - logiciel |
10.000 |
2.500 |
201508 |
Patinoire |
150.000 |
37.500 |
201509 |
Jeux écoles |
25.000 |
6.250 |
201510 |
Aménagement fleurissement centre ville |
20.000 |
5.000 |
201511 |
City park |
70.000 |
17.500 |
201512 |
Skate park |
25.000 |
6.250 |
201513 |
Entrée cimetière |
30.000 |
7.500 |
203 |
Eclairage public basse consommation |
55.000 |
13.750 |
|
TOTAL |
2.660.000 |
665.000 |
Conformément aux textes applicables, le Conseil Municipal, à l’unanimité DECIDE de faire application de cet article à hauteur de 665.000 €.
N°87/2015
AUTORISATION DE MANDATER LES DEPENSES D’INVESTISSEMENTS DANS LA LIMITE DU QUART DES CREDITS OUVERT AU BUDGET DE L’EXERCICE PRECEDENT POUR LE BUDGET EAU ET ASSAINISSEMENT
M. le maire rappelle les dispositions extraites de l'article L 1612-1 du code général des collectivités territoriales modifié par la loi n°2012-1510 du 29 Décembre 2012 – art. 37 :
Dans le cas où le budget d'une collectivité territoriale n'a pas été adopté avant le 1er janvier de l'exercice auquel il s'applique, l'exécutif de la collectivité territoriale est en droit, jusqu'à l'adoption de ce budget, de mettre en recouvrement les recettes et d'engager, de liquider et de mandater les dépenses de la section de fonctionnement dans la limite de celles inscrites au budget de l'année précédente.
Il est en droit de mandater les dépenses afférentes au remboursement en capital des annuités de la dette venant à échéance avant le vote du budget.
En outre, jusqu'à l'adoption du budget ou jusqu'au 15 avril, en l'absence d'adoption du budget avant cette date, l'exécutif de la collectivité territoriale peut, sur autorisation de l'organe délibérant, engager, liquider et mandater les dépenses d'investissement, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l'exercice précédent, non compris les crédits afférents au remboursement de la dette.
L'autorisation mentionnée à l'alinéa ci-dessus précise le montant et l'affectation des crédits.
Pour les dépenses à caractère pluriannuel incluses dans une autorisation de programme ou d'engagement votée sur des exercices antérieurs, l'exécutif peut les liquider et les mandater dans la limite des crédits de paiement prévus au titre de l'exercice par la délibération d'ouverture de l'autorisation de programme ou d'engagement.
Les crédits correspondants, visés aux alinéas ci-dessus, sont inscrits au budget lors de son adoption. Le comptable est en droit de payer les mandats et recouvrer les titres de recettes émis dans les conditions ci-dessus.
BUDGET EAU ET ASSAINISSEMENT
Montant budgétisé - dépenses d'investissement 2015 : 547.000 * 25% = 136.750 €
(Hors chapitre 16 « Remboursement d'emprunts »)
N° opération |
Libellé |
Montant Budgétisé en euros |
Crédit ouvert à hauteur du quart en euros |
012015 |
Etudes CLE amélioration |
35 000 |
8.750 |
022015 |
Téléreleve |
35 000 |
8.750 |
032015 |
Canalisation des Loches |
120 000 |
30.000 |
042015 |
Schéma directeur d’eau potable |
60 000 |
15.000 |
052015 |
Procédure de conformité |
22 000 |
5.500 |
062015 |
Travaux de périmètre de protection |
19 500 |
4.875 |
072015 |
Raccordement STEP vers les Alliberts |
210 000 |
52.500 |
0901 |
Acquisition de matériel |
10 000 |
2.500 |
1302 |
Aménagement de la STEP |
20 000 |
5.000 |
1303 |
Raccordement de la STEP vers les réseaux |
500 |
125 |
20111 |
Travaux séparation pluvial |
15 000 |
3.750 |
|
TOTAL |
547.000 |
136.750 |
Conformément aux textes applicables, le Conseil Municipal, à l’unanimité DECIDE de faire application de cet article à hauteur de 136.750 €.
N°88/2015
AUTORISATION DE MANDATER LES DEPENSES D’INVESTISSEMENTS DANS LA LIMITE DU QUART DES CREDITS OUVERT AU BUDGET DE L’EXERCICE PRECEDENT POUR LE BUDGET MICRO CENTRALE
M. le maire rappelle les dispositions extraites de l'article L 1612-1 du code général des collectivités territoriales modifié par la loi n°2012-1510 du 29 Décembre 2012 – art. 37 :Dans le cas où le budget d'une collectivité territoriale n'a pas été adopté avant le 1er janvier de l'exercice auquel il s'applique, l'exécutif de la collectivité territoriale est en droit, jusqu'à l'adoption de ce budget, de mettre en recouvrement les recettes et d'engager, de liquider et de mandater les dépenses de la section de fonctionnement dans la limite de celles inscrites au budget de l'année précédente.
Il est en droit de mandater les dépenses afférentes au remboursement en capital des annuités de la dette venant à échéance avant le vote du budget.
En outre, jusqu'à l'adoption du budget ou jusqu'au 15 avril, en l'absence d'adoption du budget avant cette date, l'exécutif de la collectivité territoriale peut, sur autorisation de l'organe délibérant, engager, liquider et mandater les dépenses d'investissement, dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l'exercice précédent, non compris les crédits afférents au remboursement de la dette.
L'autorisation mentionnée à l'alinéa ci-dessus précise le montant et l'affectation des crédits.
Pour les dépenses à caractère pluriannuel incluses dans une autorisation de programme ou d'engagement votée sur des exercices antérieurs, l'exécutif peut les liquider et les mandater dans la limite des crédits de paiement prévus au titre de l'exercice par la délibération d'ouverture de l'autorisation de programme ou d'engagement.
Les crédits correspondants, visés aux alinéas ci-dessus, sont inscrits au budget lors de son adoption. Le comptable est en droit de payer les mandats et recouvrer les titres de recettes émis dans les conditions ci-dessus.
BUDGET MICRO CENTRALE
Montant budgétisé - dépenses d'investissement 2015 : 233.700 * 25% = 58.425 €
(Hors chapitre 16 « Remboursement d'emprunts »)
N° opération |
Libellé |
Montant Budgétisé en euros |
Crédit ouvert à hauteur du quart en euros |
0501 |
Aménagement de la prise d’eau mise en conformité |
84 700 |
21.175 |
0602 |
Installations techniques de la micro centrale |
149 000 |
37.250 |
|
TOTAL |
233 700 |
58.425 |
Conformément aux textes applicables, le Conseil Municipal, à l’unanimité DECIDE de faire application de cet article à hauteur de 58.425 €.
N°89/2015
IAT – INDEMNITE D’ADMINISTRATION ET DE TECHNICITE
Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 19 octobre 2006 et visée par la Préfecture des Hautes Alpes le 30 octobre 2006 instituant l’assiette de l’indemnité d’administration et de technicité,
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et notamment son article 20,
Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment ses articles 87, 88, 111 et 136,
Vu le décret n° 91-875 du 6 septembre 1991 pris pour l'application du 1er alinéa de l'article 88 de la loi du 26 janvier 1984 portant dispositions statuaires relatives à la fonction publique territoriale.
Vu le décret n° 2002-61 du 14 janvier 2002 relatif à l'indemnité d'administration et de technicité,
Vu l'arrêté du 14 janvier 2002 fixant les montants de référence de l'indemnité d'administration et de technicité,
Vu l’augmentation de la valeur du point d’indice en date du 01 juillet 2010
Vu les crédits inscrits au budget,
Après en avoir délibéré et à l’unanimité, le Conseil Municipal décide de fixer l'indemnité d'administration et de technicité aux agents relevant des cadres d'emplois suivants comme suit :
FILIERE |
GRADE |
MONTANT DE REFERENCE ANNUEL En euros applicables au 01/07/2010 |
ADMINISTRATIVE |
Adjoint administratif de 1ère Classe |
464.30 € |
ADMINISTRATIVE |
Adjoint Administratif de 2ème Classe |
449.28 € |
TECHNIQUE |
Agent de maîtrise |
469.67 € |
TECHNIQUE |
Adjoint technique Principal de 2ème Classe |
469.67 € |
TECHNIQUE |
Adjoint technique de 1ère Classe |
464.30 € |
TECHNIQUE |
Adjoint technique de 2ème Classe |
449.28 € |
SOCIALE |
Agent Spécialisé des Ecoles 1ère Classe |
464.30 € |
Les taux moyens retenus par l'assemblée sont, conformément aux dispositions en vigueur, indexés sur la valeur du point fonction publique. Ils seront proratisés pour les agents à temps non complet ou autorisés à travailler à temps partiel.
Il est rappelé que les dispositions de l'indemnité sont étendues aux agents non titulaires de droit public de la collectivité, ayant un contrat d’au moins 4 mois, sur les mêmes bases que celles applicables aux fonctionnaires des grades de référence.
Il est rappelé également qu’en ce qui concerne les modalités de maintien ou de suppression du régime indemnitaire et notamment pour le cas des agents momentanément indisponibles (congé maternité, accident de service), il sera fait application des dispositions applicables aux agents de l’État.
Il est décidé que le paiement de cette indemnité sera effectué annuellement au mois de Décembre.
Le montant moyen de l’indemnité est calculé par application à un montant de référence annuel d’un coefficient multiplicateur compris entre 1 et 8.
Dans le cadre de l’enveloppe de crédit, le coefficient multiplicateur est fixé à 1 pour l’année 2015 pour chaque grade.
Les dispositions de la présente délibération prendront effet au plus tôt à la date de transmission de la délibération au contrôle de légalité, en regard du principe de non rétroactivité d'un acte réglementaire et de son caractère exécutoire dès lors qu'il a été procédé à la transmission de cet acte au représentant de l'Etat dans le département.
N°90/2015
CREATION DE L’INDEMNITE FORFAITAIRE POUR TRAVAUX SUPPLEMENTAIRES – IFTS
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et notamment son article 20,
Vu la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale et notamment ses articles 87, 88, 111 et 136,
Vu le décret n° 91-875 du 6 septembre 1991 pris pour l'application du 1er alinéa de l'article 88 de la loi du 26 janvier 1984 précitée,
Vu le décret n° 2002-63 du 14 janvier 2002 relatif à l'indemnité forfaitaire pour travaux supplémentaires des services déconcentrés,
Vu l'arrêté du 12 mai 2014 fixant les montants de référence de l'I.F.T.S,
Vu la jurisprudence et notamment l'arrêt du Conseil d’État n° 131247 et .n°131248 du 12 juillet 1995 autorisant un agent seul dans son grade à bénéficier du taux maximum individuel au titre du principe d'égalité de traitement,
Vu les crédits inscrits au budget,
Le CONSEIL MUNICIPAL, à l’unanimité :
DECIDE D’INSTAURER l’indemnité forfaitaire pour travaux supplémentaires pour les fonctionnaires stagiaires et titulaires ainsi que les agents non titulaires de droit public relevant des cadres d’emplois ou grades fixés dans le tableau ci-dessous dans les conditions définies ci-après, à compter de ce jour, étant entendu que le coefficient retenu par la collectivité pour chaque filière, cadre d’emploi ou grade ne peut excéder huit.
FILIERE |
GRADE |
MONTANT DE REFERENCE ANNUEL En euros applicables au 01/07/2010 |
ADMINISTRATIVE |
3ème catégorie : fonctionnaires de catégorie B dont l’indice est supérieur à 380. Rédacteur à partir du 6ème échelon |
857,82 € |
INFORME que l’indemnité forfaitaire pour travaux supplémentaires n’est pas cumulable avec l’indemnité d’administration et de technicité et qu’elle ne peut être attribuée aux agents logés par nécessité absolue de service ;
RAPPELLE que conformément au décret n° 91-875, le maire fixera et pourra moduler les attributions individuelles en fonction des critères suivants :- l'expérience professionnelle (traduite par rapport à l'ancienneté, des niveaux de qualification, des efforts de formation) - les fonctions de l'agent appréciées par rapport aux responsabilités exercées – la disponibilité.
DECIDE d’inscrire au budget le crédit nécessaire au mandatement de ces primes résultant du produit entre les montants de référence annuels indexés sur la valeur du point fonction publique et les coefficients y afférents, multiplié par le nombre d’agents concernés
GRADE |
EFFECTIF |
CREDIT GLOBAL |
3ième catégorie : fonctionnaires de catégorie B dont l’indice est supérieur à 380. Rédacteur à partir du 6ème échelon |
1 |
Montant annuel de référence X coefficient retenu 1 x effectif (1) SOIT 857,82 € |
DECIDE que le paiement de cette indemnité sera effectué annuellement (au mois de Décembre) ;
RAPPELLE que les dispositions de la présente délibération prendront effet au plus tôt à la date de transmission de la délibération au contrôle de légalité, en regard du principe de non rétroactivité d'un acte réglementaire et de son caractère exécutoire dès lors qu'il a été procédé à la transmission de cet acte au représentant de l’État dans le département ;
DECIDE qu’en ce qui concerne les modalités de maintien ou de suppression du régime indemnitaire et notamment pour le cas des agents momentanément indisponibles (congé maternité, accident de service), il sera fait application des dispositions applicables aux agents de l’État.
N°91/2015
CONVENTION NAVETTE HIVERNALE 2015/2016
Le Maire rappelle à l’assemblée qu’une navette entre la commune de Saint Bonnet en Champsaur et la station de Chaillol avait été mise en place l’année dernière pendant les vacances scolaires de Noël et de Février.
Le maire propose à l’assemblée de renouveler cette année la mise en place de cette navette gratuite pour les usagers.
Cette navette fonctionnera du lundi au samedi pendant les vacances scolaires de Noël et celles de Février zone B. Elle ne fonctionnera pas le jour de Noël et Jour de l’An.
Cette année, la navette gratuite sera mise en place entre Saint Bonnet-Chaillol et Saint Léger, elle permettra aux vacanciers et aux habitants des cinq communes, et plus généralement de la vallée du Champsaur de diversifier la pratique du ski mais aussi des autres activités proposées par les deux stations.
Les communes concernées conviennent de l’intérêt de mutualiser les moyens mis en œuvre, et proposent que la Commune de Saint Michel de Chaillol soit désignée comme « chef de file », notamment pour demander la délégation de compétence au Conseil Départemental des Hautes Alpes.
La dépense prévisionnelle pour la saison d'hiver est de 11 880 €.
La répartition de cette dépense est fixée comme suit :
Commune de Chabottes : 572 €
Commune de Saint-Bonnet (matin et soir) : 1 716 €
Commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas : 1 144 €
Commune de Saint-Léger-les-Mélèzes : 1 716 €
Commune de Saint-Michel-de-Chaillol : 1 716 €
Régie des Remontées Mécaniques : 1 716 €
Commune de Saint-Bonnet (midi) 1 500 €
VVF de Saint-Bonnet (midi) 1 800 €
Après en avoir délibéré, le CONSEIL MUNICIPAL à l’unanimité :
APPROUVE la convention concernant la navette interstations pour l’hiver 2015/2016 (annexée à la présente) ;
APPROUVE la participation financière de la commune d’un montant de 3.216 euros (trois mille deux cent seize euros) ;
AUTORISE le maire à signer ladite convention et tout document relatif à cette opération.
N°92/2015
ADHESION AU SERVICE DE PAIEMENT EN LIGNE DES RECETTES PUBLIQUES LOCALES TIPI TITRE – CONVENTION ENTRE LA COMMUNE ET LA DIRECTION GENERALE DES FINANCES PUBLIQUES
Monsieur le Maire expose à l’assemblée que la Direction Générale des Finances Publiques met en œuvre un traitement informatisé dénommé « TIPI » (Titres Payables par Internet) dont l’objet est la gestion du paiement par internet, dans le respect de la réglementation bancaire, des titres de recettes et factures de régie émis par les collectivités territoriales et leurs établissements publics locaux.
Le présent traitement dispose d’un serveur de télépaiement pour assurer le paiement par carte bancaire des créances des collectivités territoriales et leurs établissements publics locaux.
La mise en place de ce traitement informatique devrait permettre aux usagers de payer en ligne, via internet, par exemple la cantine, l’accueil périscolaire, les factures d’eau et d’assainissement.
La commune prendra en charge les coûts de création, de développement et d’adaptation du portail ainsi que ceux du commissionnement lié à l’utilisation de la carte bancaire qui rémunère l’ensemble du dispositif interbancaire.
Le maire propose au Conseil Municipal de valider la mise en place du projet « TIPI » dans les conditions exposées ci-dessus et d’autoriser le Maire à signer la convention relative à ce projet.
A l’unanimité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE :
- D’ADHERER au service de paiement en ligne dans les conditions exposées ci-dessus ;
- DE METTRE EN PLACE LE PROJET « TIPI » pour les services suivants : cantine, accueil périscolaire et celui de l’eau et de l’assainissement ;
DE SIGNER la convention relative à cette mise en place et tout document relatif à cette opération.
N°93/2015
DENOMINATION DES RUES POUR LES HAMEAUX DE CHARBILLAC ET DES PAYAS
Il appartient au conseil municipal de choisir, par délibération, le nom à donner aux rues et aux places publiques. La dénomination des voies communales, et principalement celles à caractère de rue ou de place publique, est laissée au libre choix du conseil municipal dont la délibération est exécutoire par elle-même.
Le numérotage des habitations constitue une mesure de police générale que le maire peut prescrire en application de l'article L 2213-28 du CGCT aux termes duquel « Dans toutes les communes où l'opération est nécessaire, le numérotage des maisons est exécuté pour la première fois à la charge de la commune. L'entretien du numérotage est à la charge du propriétaire qui doit se conformer aux instructions ministérielles ».
Il convient, pour faciliter le repérage, le travail des préposés de la Poste et des autres services publics ou commerciaux, la localisation sur les GPS, d’identifier clairement les adresses des immeubles et de procéder à la dénomination des rues et éventuellement à leur numérotation.
Le projet de dénomination des rues des hameaux des Payas et de Charbillac est présenté au Conseil Municipal.
Le Conseil Municipal considérant l’intérêt communal que représente la dénomination des rues et places publiques, DECIDE, à l’unanimité d’APPROUVER la dénomination des rues pour les hameaux des Payas et de Charbillac conformément au plan annexé à la présente.
N°94/2015
CESSION DE DEUX BATIMENTS COMMUNAUX - BATIMENT DE L’ANCIENNE MAIRIE DES INFOURNAS – APPARTEMENT DE TYPE F3 AU CHAMPAGNIA
Vu l’article L.2241-1 in fine du Code général des collectivités territoriales modifié par l’ordonnance n°2006-460 du 21 avril 2006 art. 3 VII,
Vu la loi du 8 février 1995 modifiée par l’ordonnance n°2006-460 du 21 avril 2006 art. 3 XVI,
Vu l’article L.3221-1 du Code général de la propriété des personnes publiques,
Vu l’avis de France Domaines,
Vu les dispositions du titre VI du Code civil relatif à la vente,
Monsieur le Maire expose aux membres du Conseil Municipal que la commune est propriétaire d’un bien situé au 3 rue de l’enclos à Saint Bonnet cadastré section D n° 1271 et d’un bâtiment, l’ancienne mairie des Infournas cadastrée 067 B 133.
Le bien immobilier situé au 3 rue de l’enclos est un appartement de type F3 d’une superficie de 62 m² (cuisine, séjour et deux chambres) au 2ième étage dans l’immeuble « Le Champagnia ».
Le bâtiment de l’ancienne mairie des Infournas cadastré section 067 B 133 est constitué au rez de chaussé d’un local et au 1ier étage d’un appartement de 70 m² de type F3 (cuisine, séjour et deux chambres).
France Domaine a été consulté.
Ces biens ne présentant plus d’utilité pour la commune de Saint Bonnet, d’importants travaux devant être réalisés, il a paru opportun d’en envisager leur cession.
Le maire propose de vendre l’appartement du Champagnia pour une mise à prix de 90.000 euros et l’ancienne mairie des Infournas pour une mise à prix de 101.000 euros. Il sera procédé à un appel à candidatures au plus offrant dans un journal officiel pour la vente de ces biens communaux dont les modalités seront précisées en commission.
Après en avoir délibéré, à la majorité le conseil municipal :
- DECIDE la cession des propriétés immobilières suivantes : un appartement de type F3 au 3 rue de l’enclos dans l’immeuble « le Champagnia » cadastré section D n° 1271 moyennant une mise à prix de 90.000 € et le bâtiment de l’ancienne mairie des Infournas cadastré section 067 B 133 moyennant une mise à prix de 101.000 €, dans le respect des règles du droit civil régissant la cession immobilière et dans le respect des dispositions inhérentes à la qualité de personne publique du vendeur ;
AUTORISE le Maire à signer tout acte, administratif ou notarié, à intervenir ainsi que tout document se rapportant à cette affaire.
N°95/2015
AVIS EMIS DANS LE CADRE DE L’ENQUETE PUBLIQUE RELATIVE AU DOSSIER DE DEMANDE D’AUTORISATION SANITAIRE POUR LA PRISE D’EAU DE SURFACE DES RICOUS.
Monsieur le Maire expose à l’assemblée la nature et la consistance du dossier porté par l’ASA du canal de GAP et relatif à la demande d’autorisation sanitaire pour la prise d’eau de surface des RICOUS (sur le Drac) alimentant la ville de GAP.
Historiquement la prise d’eau du canal de GAP sur le Drac (dite prise des RICOUS) permettait l’irrigation de 17 communes du bassin gapençais. La superficie arrosée est passée de 1772 ha en 1908 à 5000 ha à ce jour.
L’alimentation d’eau de la ville de Gap destinée à la consommation humaine depuis la prise d’eau du canal de Gap, se greffe à l’usage d’irrigation pour intervenir à partir des années 1960. Alors que 99,5% des communes du département sont alimentées en eau potable à partir de l’eau souterraine, la ville de Gap est l’une des très rares communes à produire de l’eau potable à partir d’une eau de surface, qui nécessite un traitement de potabilisation.
L’approvisionnement de la ville de Gap est très vulnérable puisque il dépend à 90% de la prise d’eau des Ricous.
Or à court terme les possibilités de prélèvements de l’ASA du canal de Gap vont diminuer du fait de la nécessité d’augmenter le débit réservé à maintenir dans le Drac.
Le Maire expose ensuite que la prise d’eau du canal de Gap sur le Drac assure l’approvisionnement en eau de la ville de Gap en l’absence de périmètre de protection sanitaire depuis plus de 60 ans.
S’il est vrai qu’un dispositif de protection apparaît approprié au droit de la retenue des Jaussauds, ce n’est pas le cas des périmètres de protection projetés au droit de la prise des Ricous en raison du contexte hydro géomorphologique du bassin versant et des activités humaines présentes à l’amont de la prise d’eau des Ricous ( station d’Orcières ).
Le Maire déplore cette situation alors qu’il est avéré qu’une solution connue existe sous l’appellation ( Projet des Choulières) permettant d’assurer à brève échéance et durablement, avec une eau d’excellente qualité l’approvisionnement en eau potable de la ville de Gap et de 5 communes du Champsaur. Celle-ci peut être mise en œuvre à brève échéance.
Le Maire soulève également à l’assemblée que le dossier soumis à l’enquête publique ne dispose pas des pièces relatives à l’autorisation de prélever de l’eau en vue de la consommation humaine et que l’ASA du canal de Gap ne dispose d’aucune autorisation réglementaire de prélèvements d’eau à des fins de consommation humaine.
Le Maire conclue en précisant la précarité du dispositif actuel d’approvisionnement de la ville de Gap qui est périlleux et source de conflit d’usage dans le cadre d’une gestion équilibrée de l’eau sur le bassin versant du Haut Drac ;
De l’urgence de la ville de Gap d’assurer un approvisionnement en eau potable de façon pérenne et adapté lui garantissant une eau de qualité.
A la majorité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE :
- D’EMETTRE UN AVIS DEFAVORABLE à la demande d’autorisation portée par l’ASA du canal de Gap et visant à l’établissement de périmètres de protection de la prise d’eau de surface du Drac ( dite prise des Ricous ) alimentant la ville de Gap ;
- DE DEMANDER à ce que l’eau prélevée à la prise d’eau des Ricous et cheminant via les ouvrages du canal de Gap desserve strictement un usage d’irrigation/arrosage tel que prévu à l’origine de la création du canal de Gap ;
DE DEMANDER à ce que la ville de Gap étudie toutes les possibilités s’offrant à elle pour assurer durablement un approvisionnement en eau potable de sa population et notamment l’étude de la mobilisation de la ressource en eau souterraine contenue dans la nappe d’eau du Drac et localisée à quelques kilomètres en aval de la prise d’eau des Ricous ( Projet des Choulières ).
N°96/2015
DECISION MODIFICATIVE N°2 – BUDGET COMMUNE – EXERCICE 2015
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 1612-11,
Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 14 Avril 2015 portant vote du budget primitif de la Commune afférent à l’exercice 2015,
Vu l’instruction budgétaire et comptable M14,
Considérant que des modifications peuvent être apportées au budget par l’organe délibérant jusqu’au terme de l’exercice auquel elles s’appliquent,
Considérant la nécessité de procéder à des ajustements du budget principal de la commune de l’exercice 2015,
A l’unanimité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE D’ADOPTER la décision modificative n° 2 au budget principal de la commune de l’exercice 2015 telle que ci-après énoncée :
Budget principal commune :
Article |
Section |
Opération et Libellé |
Dépenses |
Recettes |
2315 |
investissement |
1302 - Aménagement chemin piétonnier |
|
+30.000 |
2313 |
investissement |
18 - réhabilitation CPM |
|
+ 10.000 |
2315 |
investissement |
18 - réhabilitation CPM |
|
+ 5.000 |
2315 |
investissement |
201509- jeux écoles |
|
+ 10.000 |
2315 |
investissement |
2014041 - travaux église |
|
- 55.000 |
N°97/2015
DECISION MODIFICATIVE N°1 – BUDGET EAU ET ASSAINISSEMENT – EXERCICE 2015
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 1612-11,
Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 14 Avril 2015 portant vote du budget primitif de la Commune afférent à l’exercice 2015,
Vu l’instruction budgétaire et comptable M49,
Considérant que des modifications peuvent être apportées au budget par l’organe délibérant jusqu’au terme de l’exercice auquel elles s’appliquent,
Considérant la nécessité de procéder à des ajustements du budget principal de la commune de l’exercice 2015,
A l’unanimité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE D’ADOPTER la décision modificative n° 1 au budget de l’eau et d’assainissement de l’exercice 2015 telle que ci-après énoncée :
Budget eau et assainissement :
Chapitre |
Article |
section |
Libellé |
Dépenses |
Recettes |
011 |
6371 |
fonctionnement |
redevances |
+20.000 |
|
012 |
6411 |
fonctionnement |
salaires |
-20.000 |
|
N°98/2015
SUPPRESSION DE LA REGIE MUNICIPALE PISCINE ET CANTINE ET GARDERIE PERISCOLAIRE
Monsieur le Maire rappelle les délibérations successives du 10 avril 1970 et du 7 Janvier 2013 instituant une régie de recettes pour l’encaissement des produits de la piscine.
Monsieur le Maire rappelle que la piscine ne fonctionne plus depuis septembre 2013, des travaux importants de rénovation ayant été réalisés par la Communauté de Communes du Champsaur pour permettre la création d’un nouveau centre nautique.
Monsieur Le Maire explique à l’assemblée que la piscine étant désormais intercommunale la régie existante n’a plus lieu d’être et propose sa dissolution.
Monsieur le Maire rappelle La délibération du 7 Janvier 2013 instituant une régie de recettes pour l’encaissement des produits de la cantine scolaire.
Monsieur le Maire rappelle que depuis 2014, pour des raisons de simplification des titres sont directement envoyés aux usagers par l’intermédiaire de la Trésorerie.
Après discussion le Conseil Municipal, à l’unanimité des membres présents DECIDE :
DE DISSOUDRE la régie de recettes pour l’encaissement des produits de la piscine et la régie de recettes de la cantine et garderie périscolaire ;,
DE DONNER tous pouvoirs à Monsieur Le Maire pour signer tous actes et pièces nécessaires à l’exécution de la présente délibération,
N°99/2015
PROJET DE SECURISATION DES ABORDS DU COLLEGE - DEMANDE DE SUBVENTIONS
Monsieur le maire rappelle à l’assemblée que la municipalité a souhaité au cours de sa mandature mettre la priorité sur la sécurisation des abords des différents établissements scolaires (école élémentaire, collège).
En effet, depuis plusieurs années, les associations des parents d’élèves et les enseignants se plaignent de la dangerosité des abords du collège (stationnement anarchique des véhicules, dépose et ramassage scolaire dangereux ...).
Le maire présente aux conseillers le projet de sécurisation des abords du collège et de la gestion du ramassage scolaire.
L’aménagement proposé permettra de sécuriser la dépose et le ramassage des élèves du collège et de renforcer la sécurité devant l’entrée du collège en supprimant le stationnement sur les trottoirs. Un parking complétera l’offre de stationnement aux abords des établissements supprimant ainsi le stationnement anarchique sur les trottoirs.
Le coût de ces travaux est estimé à 243.000 € HT (honoraires compris).
Après en avoir délibéré, le CONSEIL MUNICIPAL, à l’unanimité :
APPROUVE l’exposé de Monsieur le Maire concernant la sécurisation des abords du collège ;
SOLLICITTE DES SUBVENTIONS au taux maximum auprès des différentes partenaires financiers, Conseil Régional Provence Alpes Côte d’Azur, Conseil Départemental des Hautes- Alpes, Etat dans le cadre de la DETR 2016 ;
DONNE tous pouvoirs à Monsieur le Maire pour accomplir toutes les formalités nécessaire à l’obtention des subventions et pour mener à bien la réalisation de cette opération.
N°100/2015
DECISION MODIFICATIVE N°2 – BUDGET EAU ET ASSAINISSEMENT – EXERCICE 2015
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment l’article L 1612-11,
Vu la délibération du Conseil Municipal en date du 14 Avril 2015 portant vote du budget primitif de la Commune afférent à l’exercice 2015,
Vu l’instruction budgétaire et comptable M49,
Considérant que des modifications peuvent être apportées au budget par l’organe délibérant jusqu’au terme de l’exercice auquel elles s’appliquent,
Considérant la nécessité de procéder à des ajustements du budget principal de la commune de l’exercice 2015,
A l’unanimité, le CONSEIL MUNICIPAL DECIDE D’ADOPTER la décision modificative n° 2 au budget de l’eau et d’assainissement de l’exercice 2015 telle que ci-après énoncée :
Budget eau et assainissement :
N° Opération |
Article |
section |
Libellé |
Dépenses |
Recettes |
022015 |
2315 |
investissements |
TELERELEVE |
+10.000 |
|
1303 |
2315 |
investissements |
RACCORDEMENT STEP RESEAUX |
+500 |
|
062015 |
2315 |
investissements |
TRAVAUX PERIMETRE PROTECTION |
-10.500 |
|
N°101/2015
DENOMINATION DE DEUX RUES POUR LE BOURG
Il appartient au conseil municipal de choisir, par délibération, le nom à donner aux rues et aux places publiques. La dénomination des voies communales, et principalement celles à caractère de rue ou de place publique, est laissée au libre choix du conseil municipal dont la délibération est exécutoire par elle-même.
Le numérotage des habitations constitue une mesure de police générale que le maire peut prescrire en application de l'article L 2213-28 du CGCT aux termes duquel « Dans toutes les communes où l'opération est nécessaire, le numérotage des maisons est exécuté pour la première fois à la charge de la commune. L'entretien du numérotage est à la charge du propriétaire qui doit se conformer aux instructions ministérielles ».
Il convient, pour faciliter le repérage, le travail des préposés de la Poste et des autres services publics ou commerciaux, la localisation sur les GPS, d’identifier clairement les adresses des immeubles et de procéder à la dénomination des rues et éventuellement à leur numérotation.
Le projet de dénomination de deux rues « rue du Gä » et « chemin de Pra Foura » est présenté au Conseil Municipal.
Le Conseil Municipal considérant l’intérêt communal que représente la dénomination des rues et places publiques, DECIDE, à l’unanimité d’APPROUVER la dénomination des deux noms de rues « rue du Gä » et « chemin de Pra Foura » conformément au plan annexé à la présente.
FEUILLET DE CLOTURE
SEANCE DU 26 NOVEMBRE 2015
84/2015 : frais de fonctionnement des écoles 2014/2015
85/2015 : adhésion à l’association des élus des communes du par national des écrins
86/2015 : autorisation de mandater le quart des investissements budget commune
87/2015 : autorisation de mandater le quart des investissements budget eau et assainissement
88/2015 : autorisation de mandater le quart des investissements budget micro centrale
89/2015 : IAT
90/2015 : IFTS
91/2015 : convention navette hivernale 2015/2016
92/2015 : adhésion à TIPI
93/2015 : dénomination des rues pour les hameaux de Charbillac et des Payas
94/2015 : cession de deux bâtiments communaux
95/2015 : avis émis dans le cadre de l’enquête relative à la prise d’eau des Ricous
96/2015 : DM N°2 budget commune
97/2015 : DM N°1 budget eau et assainissement
98/2015 : suppression des régies piscine et garderie
99/2015 : projet de sécurisation des abords du collège
100/2015 : DM N°2 budget eau et assainissement
101/2015 : dénomination de deux rues pour le bourg
Fait et délibéré à Saint Bonnet en Champsaur, le 26 Novembre 2015 et ont signé les membres présents.